Du paradis à l’enfer, il n’y a qu’une bûche

A l’origine, la bûche de Noël était un morceau de bois qu’on mettait dans la cheminée pour que ses cendres protègent le foyer du mal la veille de Noël.

Pour les fêtes de fin d’année, Le Café de la Paix approche les cieux culinaires des chérubins mais visite également l’enfer des martyrs gourmands, en réinterprétant le dessert incontournable et traditionnel sur un air d’Opéra. Du 19 décembre 2016 au 1er janvier 2017, venez déguster non pas une, mais deux bûches, imaginées par Laurent André, Chef Exécutif de l’InterContinental Paris Le Grand et du Café de la Paix.

S’inspirant du fameux dôme de l’Opéra Garnier de Paris, les deux bûches à la forme arrondie, incarnent les antonymes et la complémentarité de chacune dans un équilibre surprenants. Le Démoniaque bouleverse les classiques de Noël tout en restant fidèle au repas de fête, avec son dôme de foie gras pur de canard des Landes, parfumé aux épices de spéculos, ses figues confites et le tout, saupoudré de cacao pour une couverture de velours. La bûche sucrée quant à elle dévoile un biscuit madeleine orné d’une marmelade de mandarines corses recouverte de fromage blanc et d’une gelée au Champagne. Ange ou démon, ces fameuses bûches prouvent bien la gourmandise est un joli défaut.

Bûches salée et sucrée pour 6 à 8 personnes

Prix : Démoniaque : 96€ / Angélique : 65€

Café de la Paix

5, place de l’Opéra

75009 Paris

Texte: Laura Jamal – Photos: DR

 

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