La marque française pionnière en cosmétique marine vient d’inaugurer à Lyon son premier spa urbain : un magnifique écrin inspiré par l’océan et dont le concept, original, s’appuie sur l’association des protocoles manuels et des outils technologiques de pointe.
Texte Camille Flocon
Algotherm, qui vient tout juste de fêter ses 60 ans, entretient son capital jeunesse avec plusieurs nouveautés : un logo tout en rondeur qui rappelle les vagues, un packaging inédit qui décline les nuances de bleu et des propositions spa inédites. Déjà présente dans plus de 3 000 centres de beauté à travers le monde, dont 100 thalassos et spas d’hôtels, la marque a ainsi créé à Lyon, au cœur de la Presqu’île, son spa-flagship urbain, Dermo Ocean Spa.
L’accueil en rez-de-chaussée évoque un décor de plage avec des tons clairs et sable, un plafond couvert de strates en courbes représentant l’écume au bord de l’eau, des matières douces et naturelles. Ici se trouvent le Dermo-Lounge, dédié aux soins flash de 15 à 20 minutes concentrés sur le regard ou le visage, et le Dermo-Scan, un appareil de diagnostic de peau, prélude aux soins manuels (Ocean Origins) ou plus axés sur les technologies (Ocean Tech) tels l’aqua peeling, les ultrasons ou la cryothérapie. Des soins réalisés par les skin-thérapeutes dans les six cabines de l’étage inférieur : un espace au design épuré, lui aussi, qui suggère les profondeurs de l’océan, avec un plafond qui recrée les mouvements sous-marins de l’eau et un luminaire composé de bulles de verre fines et délicates comme des gouttes. Un univers délicieusement apaisant, propice au lâcher prise et au bien-être.
Où dormir à Lyon ?
La scène hôtelière lyonnaise s’est enrichie récemment d’adresses étonnantes : le Mihotel, propose une collection d’une vingtaine de suites connectées, disséminées dans la ville, y compris dans l’emblématique Tour Rose. L’Hôtel de Verdun 1882 perpétue le charme des hôtels particuliers du xixe siècle avec ses cheminées, moulures, objets rétro et souvenirs de voyage. Plus tendance et plus festif, le Pilo, dans un ancien collège, invente un modèle hybride entre l’hôtel et l’auberge de jeunesse.
Article paru dans le numéro 128 d’Hôtel & Lodge